Monsters - Cinco

Je vois tas d’lumière dans l’noir, j’té-por mon étoile sur moi

J’ai beaucoup vu la mort dans ma vie

Pute n’est plus rien sans la vitre

Idée noires (de-mon sur moi?)

Pour m’traîner en bas sûrement

G, sous mon lit y a des monsters, monsters, monsters, monstre

Sous mon lit y a des monsters, monsters, monsters, monstre

Souvent solo dans la nuit, gros j’suis souvent solo dans l’ennui

Je vois tas d’lumière dans l’noir, j’té-por mon étoile sur moi

J’ai beaucoup vu la mort dans ma vie

Pute n’est plus rien sans la vitre

Idée noirs (de-mon sur moi?)

Pour m’traîner en bas sûrment

Maman m’a béni demande à Beny

Même si les temps sont pénibles, j’avance j’suis pas dans l’déni

J’avance, j’attends qu’on m’délivre

J’observe, j’ingurgite des litres, j’apprends quand j’open des livres

Les keufs sont sur mes délits, geh' la che-blan vient de Medellin

Et j’suis au volant du benzo', giga défoncé je rêve de sac rempli d’maille et

de contrôler ne-zo

Mais souvent j’suis high, ils veulent tirer mes médailles

Y a pas de guerre, sinon c’est la fin pour eux d’ici peu

Je n’parle pas pour R', du Nord j’suis le R y aura tas d’fin d’carrière

anticipées

Même face aux clients j'étais dissipé

Le juge, et tté-gra sur les dix, j’rêvais d'être un gangsta comme Juicy P

Et dans les bons coups geh' comme Juicy J

Tous les jours c’est chaud, c’est pas carré

Le moindre différend se règle par le fer

Si la vie nous chauffe, nous sépare

C’est p’t'être qu’elle veut pas laisser la mort nous faire

Sous mon lit y a des monsters, monsters, monsters, monstre

Sous mon lit y a des monsters, monsters, monsters, monstre

Souvent solo dans la nuit, gros j’suis souvent solo dans l’ennui

Je vois tas d’lumière dans l’noir, j’té-por mon étoile sur moi

J’ai beaucoup vu la mort dans ma vie

Pute n’est plus rien sans la vitre

Idée noires (de-mon sur moi?)

Pour m’traîner en bas sûrement

Je suis un boss, mais c’est pas ce que mon image rejette

Maman m’a dit qu’il m’qué-man une chose, chose que je dois ver-trou dans tout

ce que j’ai

J’ai pas la pression mais j’ai des projets

On vit la vie, on se projette

On fait ness-busi, comme un pro gère

Ils veulent ma vie car ils savent qu’ils feront rien dans la prochaine

Dès le départ, j’ai vu qu’ils ne voulaient pas m’aider

Et ces faux des parts, on leur a donné un depuis belle lurette ils n’ont pas

fait deux

Y a pas une victoire qu’on a pas fêté, ma te-bi les bitchs s’arrachent

Mon équipe obligé d’en profiter, car même des fils deup' en on profité

Je sortais les kilos du coffre, j’les transportaient vers le Cinq

Fuck off les clichés

Maman pointait à la CAF, pendant que j’cassais des gueules avec de Clichy

Tous les jours c’est chaud, c’est pas carré

Le moindre différend se règle par le fer

Si la vie nous chauffe, nous sépare

C’est p’t'être qu’elle veut pas laisser la mort nous faire

Sous mon lit y a des monsters, monsters, monsters, monstre

Sous mon lit y a des monsters, monsters, monsters, monstre

Souvent solo dans la nuit, gros j’suis souvent solo dans l’ennui

Je vois tas d’lumière dans l’noir, j’té-por mon étoile sur moi

J’ai beaucoup vu la mort dans ma vie

Pute n’est plus rien sans la vitre

Idée noires (de-mon sur moi?)

Pour m’traîner en bas sûrement